2 - Calcul de la traînée:
Cx étant le coefficient de traînée r
étant la masse volumique de l'air (kilogramme par mètre cube)
V étant la vitesse en mètre seconde
S étant la superficie en plan de l'aile
La formule de la traînée se résume par Cx 1/2 r
V².S Calcul du coefficient de la traînée totale:
Cx total= Cxi + CxF + CxS + Cxl
D'abord calculons la Cxi à partir d'un Cz 0,3 (coefficient de portance
quelconque):
Cxi= Cz²/7,7(allongement de l'avion)= 0,09/7,7= 0,0116
Maintenant la CxF:
CxF= 0.006/racine carrée de surface allaire(18,7m²)
CxF= 0.006/4.32= 0.0013
et aussi la CxS:
CxS= Cz²s/Allongement, c'est à dire:
Cxz= 0.09x18.7 / 7.7= 0,0116
et finalement la Cxl:
Cxl= 0.1 du Cx total (0,2314x0,1) = 0,0231.
Cx total= 0,0116 + 0,0013 + 0,0116 =(0,0245 + 0,0024))= 0,0269
Le Cz étant de 0,3 et la Cx totale de 0,0269. Sa finesse (Cz/Cx)
à 200 Km/h sera de 11,15.
La Cx totale de cet avion fait 0,0269 et qu'il va à une vitesse de
200 km/h (55,55 m/s) en suivant la formule ci-dessus:
0,0269 x 0,5 x 1,225 x 3086 x 18,7 = 950 N
Calcul de puissance requise: 950 x Vm/s 55,55= 52772 Watts
Calcul puissance cheval: 52772/736 = 71,70 chevaux.
3 - La courbe de traînée: à 0° la traînée
est minimale et même légèrement négative et augmente
dans les deux directions à partir de cet angle et jusqu'à
6° environ l'augmentation de cette traînée n'est pas très
rapide, puis elle devient de plus en plus accentuée, particulièrement
après l'angle de décrochage, quand l'écoulement
devient turbulent. 4 - La traînée
d'aileron:
Supposons que l'avion soit proche de l'angle de décrochage, et que
le pilote décide de tourner à gauche: il déplace le
manche à gauche (ce qui fait baisser l'aileron de droite et lever
celui de gauche)et en même temps , il met du pied à gauche.
La gouverne de direction fera un effort sans grande conviction pour tourner
l'avion vers la gauche, mais quel sera l'effet du déplacement des
ailerons?
En s'abaissant, l'aileron de droite devrait augmenter la portance sur l'aile
droite mais, en pratique, il est possible qu'il la réduise en augmentant
l'angle d'attaque au-delà de l'angle de portance maximal. Mais ce
qui est tout à fait certain, c'est que la traînée de
l'aile droite augmente énormément et tend à retenir
l'aile pour faire tourner l'avion à droite. Cet effet de lacet, dû
à la traînée des ailerons, existe à tous
les angles d'attaque, mais il est plus particulièrement marqué
quand l'avion est proche du décrochage. On l'appelle le lacet inverse.
5 - La traînée de choc:
La traînée supplémentaire qui caractérise le
décrochage par onde de choc est de même nature que la traînée
de forme et la traînée de frottement, c'est à dire qu'elle
s'oppose au déplacement du corps dans l'air en appliquant des forces
soit perpendiculaires, soit tangentielles aux surfaces. Cependant, bien
que le résultat final soit le même, l'onde de choc et la traînée
qui en résulte sont des phénomènes directement réliés
à l'approche de la vitesse du son. Cette traînée supplémentaire
est tellement considérable qu'on la désigne par un terme particulier:
la traînée de choc. 6 - La
traînée de couche limite:
On considère que la traînée de choc est constituée
de deux parties: la traînée d'onde, qui est la traînée
engendrée par la production d'une onde, et ce qu'on pourrait appeller
la traînée de couche limite, qui est la traînée
de frottement produite par l'épaississement de la couche limite.
Ces traînées correspondent à celles de forme et de frottement
qui, bien sûr, demeurent toujours présentes au-delà
du décrochage par onde de choc, bien que leur amplitude soit relativement
faible en comparaison de la traînée de choc.
7 - La traînée de forme:
C'est cette partie de la résistance qui est due au fait que lorsqu'un
fluide visqueux s'écoule autour d'un objet solide, il se forme des
tourbillons et les filets de l'écoulement ne sont plus lisses. Il
est essentiel que la traînée de forme soit réduite au
minimum sur toutes les parties de l'avion qui sont exposées à
l'air. Pour exemple une plaque perpendiculaire exposée au vent relatif
a une résistance de 100%, un cylindre a 50%, une forme fuselée
a 15%, un profil a 5%. 7 bis - Valeur théorique
de K:
Cette formule exprime la relation fondamentale qui existe entre l'écoulement
de l'air autour d'un corps et les forces appliquées sur ce corps.
Elle est une parfaite illustration de la relation que l'on peut retrouver
entre la théorie et l'expérience. En étudiant la mécanique,
le lecteur a probablement dû résoudre des problèmes
où il fallait trouver la pression exercée par un jet d'eau sur un
mur perpendiculaire au jet. D'après la seconde loi de Newton, la
force appliquée sur le mur est donnée par le rythme de changement
de la quantité de mouvement du jet. Supposons maintenant que nous
fassions la même chose avec de l'air. Soit V (m/s) la vitesse
de l'écoulement d'air et S (m²) la superficie de la plaque
(fig. 2.18). En supposant que tout l'air qui se déplace vers la
Fig. 2.18 Anémomètre rustique
plaque la rencontre effectivement, en supposant
que les particules d'air ne soient pas du tout élastiques, c'est-à-dire
qu'elles ne rebondissent pas et qu'elles quittent la plaque en glissant
parallèlement à sa surface, et en supposant aussi que rien
d'autre ne se produise en arrière de la plaque, nous pouvons dire
que le volume d'air qui rencontre la plaque en une seconde est de VS
mètres cubes; si r est
la masse volumique, c'est-à-dire la masse d'un mètre cube,
la masse d'air qui rencontre la plaque en une seconde est de r
VS kg.
La quantité de mouvement de cette masse d'air est r
VSxV = r SV².
Par conséquent, la quantité de mouvement perdue par l'air
en une seconde est égale à r
SV² et, d'après la seconde loi de Newton, la force appliquée
sur la plaque est égale à r
SV² newtons.
Ainsi, avec toutes ces suppositions, la valeur de K serait de l.
Mais si nous avions supposé que l'air était parfaitement
élastique et qu'il rebondissait à la même vitesse
après avoir rencontré la plaque, le changement de quantité
de mouvement de l'air aurait été le double. la force sur
la plaque r SV² et K = 2.
Dans les deux cas, l'erreur est considérable quand on sait que
la valeur de K pour une plaque plane, déterminée
par des essais en laboratoire, est d'environ 0,6. L'erreur ne provient
pas des principes théoriques concernés, mais de nos suppositions
sur ce qui se produit, car elles sont toutes comlpètement fausses!
Il est remarquable que la valeur théorique de K soit supérieure
à celle trouvée expérimentalement; cela prouve que
la plus grande erreur se produit parce qu'on suppose que tout l'air qui
s'approche de la plaque la rencontre effectivement et s'immobilise. Les
expériences démontrent que la plus grande partie de l'air
s'échappe par les bords de la plaque, et l'écoulement devient
ensuite turbulent.
Le lecteur se demande sûrement pourquoi on ne se contente pas des
faits expérimentaux quand la théorie donne des résultats
aussi erronés. La vérité est qu'on s'appuie presque
entièrement sur les résultats de l'expérience lorsqu'on
étudie les phénomènes aérodynamiques, mais
la théorie, comme dans ce cas, donne la nature de la loi et les
expériences fournissent les constantes ou les coefficients. Ici,
la théorie indique que la force sur la plaque est proportionnelle
à r SV², et l'expérience
donne l'important coefficient de proportionnalité K.
7 ter - Théorème de Bernoulli
Le théorème de Bernoulli nous propose une autre approche
intéressante de ce problème. II nous dit que dans l'écoulement
d'un fluide idéal, c'est-à-dire non visqueux, la somme de
l'énergie de position (ou énergie potentielle), de l'énergie
de mouvement (ou énergie cinétique) et de l'érnergie
de pression demeure constante. Dans les cas qui nous concernent, les changements
de hauteur du fluide ne sont pas suffisants pour produire un effet appréciable
sur le premier terme de cette somme, c'est-à-dire l'énergie
potentielle. Par conséquent, la somme des deux premiers termes
devrait rester constante; ce qui signifie que si toute l'énergie
cinétique est perdue au moment où l'air rencontre la plaque, elle
doit être convertie intégralement en énergie de pression.
L'énergie cinétique d'une masse de m kilogrammes
se déplaçant à V mètres par seconde est de
½ mV² joules; l'énergie cinétique de
1 m³ d'air est donc de ½ r V²
joules. Si toute cette énergie se transforme en énergie
de pression, la pression est de ½ r
V² pascals et, si la superficie de la plaque est de S
mètres carrés, la force totale appliquée sur la plaque
sera de ½ r SV² newtons.
Encore une fois, nous remarquons que la théorie indique la nature
de la loi, mais nous donne le mauvais coefficient. Dans le présent
cas, l'erreur principale vient de ce que nous supposons le fluide non
visqueux; la théorie ne tient pas compte des tourbillons formés
à l'arrière de la plaque et qui peuvent bien être
responsables de l'augmentation de K de ½ (sa valeur théorique)
à 0,6 environ (sa valeur expérimentale). Cela est confirmé
par le fait que dans un tube de Pitot - nous l'étudierons dans
les prochains paragraphes - on obtient en pratique la valeur de K
= ½ avec un degré extraordinaire de précision.
8 - La traînée de
frottement:
C'est la résistance à l'écoulement que présente
une plaque fine et plate parallèle au vent relatif
9 - La traînée de profil:
La traînée de forme et la traînée de frottement
constituent une grande partie de la traînée totale d'un avion
et la majeure partie dans le domaine des hautes vitesses subsoniques.
Parfois, on donne à la somme de ces deux traînées
le nom de
traînée de profil, mais nous éviterons ce terme,
car il tend à donner l'impression qu'il s'agit là d'une
autre appellation de la traînée de forme alors qu'il englobe
aussi la traînée de frottement.
10 - La traînée d'onde:
La traînée d'onde et la traînée de couche limite
font partie de la traînée de choc. Cette traînée
est engendrée par la production d'une onde.
11 - La traînée induite et son calcul:
Toujours dirigée parallèlement au vent relatif. C'est
la cause principale des tourbillons de bord de fuite: l'air qui passe
sur l'extrados d'une aile tend à s'écouler vers l'intérieur.
lI en est ainsi parce que la pression sur l'extrados est plus faible que
la pression à l'extérieur des bouts d'ailes. D'autre part,
l'air en dessous de l'aile s'écoule vers l'extérieur parce
que la pression sur l'intrados est plus grande que celle qui règne
à l'extérieur des bouts d'ailes. L'air cherche donc continuellement
à contourner les bouts d'ailes, de l'intrados à l'extrados.
La façon peut-être d'expliquer pourquoi un allongement élevé
est meilleur qu'un allongement faible serait de dire que plus l'allongement
est grand, plus la proportion d'air qui s'échappe par les bouts
d'ailes est faible. L'air qui contourne les bouts d'ailes n'est plus là
pour produire de la portance, c'est ce qu'on appelle parfois une "perte
marginale".
Comme les deux écoulements, celui de l'extrados et celui de l'intrados,
se rencontrent en bord de fuite sous un certain angle, ils forments des
tourbillons qui tournent dans le sens horaire (vus de l'arrière)
derrière l'aile gauche et dans le sens anti-horaire derrière
l'aile droite. Tous les tourbillons d'un même côté
tendent à se rejoindre pour former un seul grand tourbillon qui
s'échappe de chaque bout d'aile. Ces deux grands tourbillons s'appellent
les tourbillons marginaux.
La plupart des pilotes ont vu ces tourbillons ou, plus précisément,
la partie centrale de ceux-ci rendue visible par la condensation. L'humidité
de l'air se condense à cause de la chute de pression dans
le coeur du tourbillon. Il ne faut pas confondre ces traînées
avec la condensation produite par les gaz éjectés des moteurs
en haute altitude.
Si l'on considère maintenant le sens de rotation de ces tourbillons,
on s'aperçoit qu'il y a un courant d'air vers le haut à
l'extérieur de l'envergure des ailes et un courant vers le bas
en arrière du bord de fuite. Il ne faut pas confondre ce courant
vers le bas avec la déflexion qui se produit normalement. Dans
ce dernier cas, la déflexion vers le bas s'accompagne toujours
d'une déflexion vers le haut en avant de l'aile si bien que la
direction finale de l'écoulement n'est pas modifiée. Mais
dans le cas des tourbillons marginaux, la déflexion vers le haut
se produit à l'extérieur de l'aile et non pas en avant d'elle,
si bien que l'écoulement quittant l'aile est en fin de compte dirigé
vers le bas. Par conséquent, la portance, qui agit perpendiculairement
à l'écoulement, est légèrement inclinée
vers l'arrière et contribue à la traînée. Cette
partie de la traînée s'appelle la traînée
induite.
Cette traînée induite est inversement proportionnelle au
carré de la vitesse, alors que le reste de la traînée
est directement proportionnel au carré de la vitesse
Comment calculer le coefficient de la trainée induite (Cxi):
Calculer d'abord l'allongement: envergure/Corde
Calculer ensuite le coefficient de portance (Cz):Cz 1/2 r
V².S
Ensuite diviser le coefficient de portance au carré par l'allongement.
Comment calculer la résistance(Rx) en Newtons de la traînée
induite:
Multiplier le coefficient de la traînée induite par un 1/2,
par la masse volumique de l'air, par la vitesse en mètre secondes
au carré et par la surface des ailes.
(Cz²/p A) . 1/2 r
V² . S, le résultat est en Newtons
(N= équivalant à la force qui communique à un corps
ayant une masse de 1 kilogramme une accélération de 1 mètre
par seconde carré).
Comment calculer la puissance requise(en Watts) pour s'opposer à
cette traînée induite:
Multiplier la résistance (en Newtons) par la vitesse (mètres
secondes) Rx.V .
Il ne reste plus qu'à convertir les Watts en chevaux.
(ch= 736 Watts ou 75 Kilogrammètres par seconde).
12 - La traînée minimale:
On pourrait penser que pour voler à la traînée minimale
il suffit de donner à l'avion l'assiette qui lui permette de rencontrer
l'air sous son meilleur profil; en d'autres mots, l'assiette qui produise
la traînée la plus faible. Mais si l'on y pense bien, on
s'aperçois vite qu'une telle idée est erronée. Cette
"assiette qui permet de présenter le meilleur profil" implique
une vitesse élevée, et nous savons que les effets de la
haute vitesse , en ce qui concerne la traînée, annulent les
avantages que l'on pourrait gagner en présentant l'avion à
l'air dans la bonne assiette. On peut dire que c'est cette assiette qui
permet d'atteindre la haute vitesse, et la haute vitesse, en revanche,
est cause de traînée. Ce serait faire un trop grand effort
pour essayer d'aller vite.
Par ailleurs,il ne faut pas non plus s'imaginer qu'on produirait la traînée
la plus faible en volant à la vitesse minimale en palier. En effet,
l'aile, à la vitesse minimale, à un angle d'attaque élevé,
15° ou plus, et la traînée induite, pour ne mentionner que
celle-là, est extrêmement élevée, il faut alors
faire un trop grand effort pour maintenir l'avion dans les airs.
Il doit donc y avoir un compromis entre ces deux extrèmes: ce ne
serait pas un avion s'il n'y avait pas moyen de faire un compromis d'une
façon ou d'une autre. Ce ne serait pas non plus un avion si la
solution n'était pas évidente, à condition qu'on
nous montre de quel côté chercher! Etant donné que
la portance doit toujours être égale au poids, que
nous avons supposé constant et égal à 50 KN, la traînée
est au minimum quand le rapport portance/traînée, c'est à
dire la finesse, est au maximum. La courbe de finesse fait référence
aux profils d'aile seulement. Les valeurs de finesse seront inférieures
si l'on considère l'avion dans son ensemble, étant donné
que la portance ne sera pas beaucoup plus grande que celle de l'aile seule,
alors que la traînée sera considérablement plus élevée,
peut-être le double. En outre, les variations de finesse en fonction
de l'angle d'attaque, c'est à dire la forme de la courbe, ne seront
pas les mêmes pour l'avion complet. Néanmoins, on obtient
une valeur maximale, disons 12 à 1, pour un angle d'attaque à
peu près identique à celui qui donne la meilleure finesse
de l'aile seule (3° ou 4°), et la courbe redescent de chaque côté
du maximum, si bien que la finesse est plus petite, c'est à dire
la traînée plus grande, si l'on vole à un angle d'attaque
plus petit ou plus grand que 4°. En d'autres mots, la finesse diminue
si l'on vole à une vitesse plus grande ou plus petite que celle
qui correspond à 4°; dans le cas de notre avion, le tableau indique
que cette vitesse est de 160 noeuds.
L'angle d'attaque qui donne la meilleure finesse reste le même
quels que soient l'altitude et le poids et par conséquent la même
distance franchissable. Il s'agit simplement de présenter l'avion
à l'air sous le meilleur angle, et cela n'a rien à voir
avec la masse volumique de l'air, la charge transportée par l'avion
ou même la méthode de propulsion.
Prenons un exemple: 7.600.000 J que nous voudrions obtenir d'un litre
de carburant. Le joule étant le travail produit par une force
d'un Newton dont le point d'application se déplace d'un mètre,
nous pouvons calculer la distance parcourue par l'avion avec un litre
de carburant en divisant nos 7.600.000 J par la traînée totale
à différentes vitesses. A 100Kts 912 m, à 120Kts
1610 m, à 140Kts 1792 m, à 160Kts 1822 m, à 180Kts
1627 m, à 200Kts 1292 m, de 220Kts 1095 m, 240Kts 912 m, 260Kts
790 m, 280Kts 684 m et à 300Kts 577m seulement. Ces chiffres sont
vrais quelle que soit l'altitude. Si le poids est 60 KN au lieu de 50,
chaque distance doit être divisée par 60/50, c'est à
dire 1,20. Si le poids est inférieur à 50KN, chaque distance
sera proportionnellement plus grande.
En résumé, pour obtenir la distance franchissable maximale,
il faut voler à un angle d'attaque déterminé, c'est
à dire à une vitesse indiquée déterminée.
On peut voler à n'importe quelle altitude, mais il faut transporter
une charge minimale; quand il faut transporter une charge plus grande,
il faut augmenter la vitesse indiquée.
13 - La traînée parasite:
Certains divisent d'une autre façon la traînée totale
d'un avion. ils font la distinction entre la traînée de l'aile,
c'est à dire la traînée crée par les ailes
ou les autres surfaces portantes, et la traînée parasite
qui est la traînée des parties qui ne contribuent pas à
la portance. Les vieux types d'avion avaient une grande partie de leur
traînée totale transformée en traînée
parasite.
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